Brazil - Terry Gilliam
Humeur à avoir : ne pas être sujet aux angoisses déclenchées par les prophéties cinématographiques sombres, aimer les histoires d’amour tout en étant à saturation des happy end .
Les références peuvent être nombreuses : univers kafkaïen d’une bureaucratie hypertrophiée, anticipation noire à la 1984 de George Orwell, puis une ambiance grinçante à la poésie tendre et au lyrisme halluciné qui a certainement laissé son empreinte dans l’imaginaire de nos Carot et Jeunet.
Brazil est un incontournable, baigné dans la musique du même nom. Un monde claustrophobique où il la seule liberté réside en sa capacité à rêver quitte à finir étouffé par la réalité.